Histoire
Il y a environ 2000 ans, les vertus de ces petites pierres en quartz appelées graves furent découvertes. Les premières mentions d’un vin spécifiquement désigné comme ayant été produits sur ces sols remontent à 1521.
En faisant l’acquisition de Château Haut-Brion en 1935,
Clarence Dillon lui redonne ses lettres de noblesse
et le fait revenir dans le cercle restreint des vins les plus légendaires du monde.
Cette extraordinaire vision, audacieuse et courageuse,
est aujourd’hui perpétuée par la 4ème génération de la famille,
incarnée par son président, Prince Robert de Luxembourg.
Situé sur la commune de Pessac, à quelques kilomètres seulement de Bordeaux,
Château Haut-Brion – le premier des trois domaines
acquis par la famille Dillon – est la propriété viticole la plus ancienne de la région.
1er siècle ap. J.-C.
Haut-Brion, le terroir des origines
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1521
La plus ancienne mention connue à ce jour
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1533
La dynastie des Pontac
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1549
La construction du Château
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1589
Consolider la réputation du Château
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17ème
L’expansion
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Mi-17ème
Un vin à nul autre pareil
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1660
Le succès londonien, première partie
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1663
Le succès londonien, deuxième partie
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1666
Pontack’s head
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1677
La naissance d’une légende
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1749
Les 18ème et 19ème siècles : modernité, unité et consécration
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1787
Joseph de Fumel et Thomas Jefferson
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1801
Talleyrand et l’Empire
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1855
Le Classement de 1855
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1859
La famille Larrieu et “l’esprit des Girondins”
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1880
Le combat contre le phylloxera
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1923
La mise en bouteille à la propriété
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1935
L’arrivée de la famille Dillon
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1939
Le domaine reconverti en hôpital
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1975 – 1991
Château Haut-Brion prépare son entrée dans le 21ème siècle
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2004
Une découverte exceptionnelle
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2012
La quatrième génération
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2021
L’ouverture du Pavillon Catelan
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1er siècle ap. J.-C.Haut-Brion, le terroir des origines
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L’histoire viticole des terres de Haut-Brion remonte au milieu du Ier siècle après Jésus-Christ, comme l’atteste la découverte récente, sur une croupe de belles graves, d’une pièce à l’effigie de l’Empereur romain Claude, venant corroborer la datation par l’origine celtique du toponyme “Haut-Brion”. A cette époque, les Romains ont enseigné l’art de la viticulture aux Bituriges Vivisques, peuplade gauloise ayant fondé Burdigala, l’antique Bordeaux.
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1521La plus ancienne mention connue à ce jour
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Dans deux manuscrits, mis au jour récemment, aux Archives Départementales de la Gironde, et datant de 1521 et 1526, l’accolement du terme “cru” au nom de lieu “Aubrion” ou “Haulbrion”, désigne le vin élaboré sur ce terroir. Ces deux textes annoncent une évolution de plus de trois siècles qui amènera Haut-Brion au rang de “Premier Cru Classé” dans la Classification des Vins de la Gironde en 1855. Ainsi, dès ce début du XVIème siècle, la première marque de luxe au monde est née.
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1533La dynastie des Pontac
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En 1533, Jean de Pontac acquiert les droits de la Seigneurie de Haut-Brion auprès d’un marchand basque, Jean Duhalde, après avoir épousé en 1525, Jeanne de Bellon. Elle lui apportera en dot une partie des terres. Jean de Pontac n’aura alors de cesse que de parfaire le travail entrepris par les Gallo-Romains, d’agrandir et d’innover dans sa propriété pour l’amener à ce qui constitue, aujourd’hui encore, le premier des Grands Crus bordelais.
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1549La construction du Château
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En 1549, il entreprend la construction du château actuel. Fin connaisseur de son terroir, Jean de Pontac décide de l’ériger sur une zone de sables au pied d’une magnifique croupe de graves qu’il réserve exclusivement à la culture de la vigne. Il devient alors l’un des propriétaires les plus emblématiques de Haut-Brion et fera preuve, toute sa vie, d’une immense attention pour ses vins.
À la fin de sa vie, il possède plus de la moitié des vignes qui constituent le vignoble actuel. Il mourra, fait rarissime pour l’époque, à l’âge de 101 ans, le 5 avril 1589, après avoir traversé les règnes de cinq rois : Louis XII, François Ier, Henri II, Charles IX et Henri III.
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1589Consolider la réputation du Château
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À sa mort, le château revient à son quatrième fils, Arnaud II de Pontac puis, en 1605, à son neveu Geoffroy. Tous deux mettront tout en œuvre pour faire connaître, produire et vendre le vin de leur domaine mais c’est la génération suivante, à travers Arnaud III de Pontac, qui bâtira réellement la réputation du château. Fils de Geoffroy, Arnaud III, homme de la Renaissance, humaniste et érudit, possède l’une des plus grandes bibliothèques privées de France. Il devient rapidement le personnage politique le plus influent de Bordeaux lorsqu’il accède au poste de Premier Président du Parlement de Bordeaux.
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17èmeL’expansion
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Dès son arrivée au domaine, Arnaud III entreprend l’agrandissement de la demeure et double la superficie du vignoble. Il utilise également son influence politique pour étendre la renommée de son vin, essentiellement en Angleterre. Car si, en ce début du XVIIème siècle, Bordeaux n’est plus sous domination anglaise, la majeure partie de ses vins y est toujours exportée.
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Mi-17èmeUn vin à nul autre pareil
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Si le nom d’Arnaud III de Pontac est gravé dans l’histoire de Haut-Brion et des vins de Bordeaux, c’est aussi parce qu’il crée un nouveau style de vin, précurseur de tous les Grands Crus rouges actuels. Sur le marché anglais, ce style de vin, totalement nouveau, ancêtre direct de nos actuels grands vins de garde, connaîtra la fortune sous le nom de “New French Claret”. Des années plus tard, de nombreux historiens n’hésiteront pas à parler de cette période comme d’une « révolution vinicole ».
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1660Le succès londonien, première partie
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En 1660, après onze années de pouvoir des Cromwell, Charles II accède au trône d’Angleterre et sert Haut-Brion à sa table pour la première fois. Le livre de cave (Office of the Pantry, the Butler and the Cellar of the Lord King) mentionne qu’en 1660-1661, Joseph Batailhe reçut, pour « 169 bouteilles, en un seul lot, de vin de Hobrion [Haut-Brion], livré par le domaine, pour le plaisir de sa Majesté le Roi et de ses invités, 21 shillings et 4 pennies par bouteille, bien remplies ».
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1663Le succès londonien, deuxième partie
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Rapidement le choix du roi devient celui de toute la haute société londonienne. Dans son journal, Samuel Pepys, célèbre chroniqueur anglais de l’époque, écrit en 1663 : « … je bus une sorte de vin français appelé Ho Bryan, qui avait un bon goût très particulier que je n’avais jamais rencontré… ».
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1666Pontack’s head
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En 1666, Arnaud III de Pontac envoie son fils François-Auguste, accompagné d’un chef français, dans la capitale anglaise. Ils y ouvrent une taverne haut de gamme baptisée “Pontack’s Head”, d’après un portrait de Pontac Père accroché à la porte. Proche de plusieurs clubs d’intellectuels influents, il devient immédiatement «… le seul établissement à la mode de tout Londres… » et cumule les fonctions de taverne, restaurant et épicerie fine. Pontac y vend ses Haut-Brion à prix fort – 7 shillings la bouteille, contre les 2 shillings habituels pour tout autre vin. L’établissement, qui sert du Haut-Brion et une cuisine beaucoup plus élaborée que dans les tavernes londoniennes de l’époque, est le lieu de rendez-vous des intellectuels, aristocrates, artistes, écrivains et amateurs de vin.
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1677La naissance d’une légende
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Tous cherchent à comprendre l’origine de son « goût si particulier ». Ainsi, John Locke, célèbre philosophe anglais, de passage au domaine le 14 mai 1677, décrit ainsi sa visite : « Le vin de Pontac, tant estimé en Angleterre, est produit sur un monticule tourné vers l’Ouest, dans une région de sable blanc mélangé à un peu de graves, dont on pourrait penser que rien ne peut y pousser ». La légende de Château Haut-Brion était née.
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1749Les 18ème et 19ème siècles : modernité, unité et consécration
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Joseph de Fumel hérite par son père de Château Haut-Brion. Un nouvel âge d’or commence alors. Il crée un grand parc à la française et dessine un jardin plus intime, qui existe encore aujourd’hui, près du château. Il fait aussi construire une orangerie et de nouvelles dépendances autour de la cour principale.
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1787Joseph de Fumel et Thomas Jefferson
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Le 25 mai 1787, Joseph de Fumel reçoit, pour la première fois, Thomas Jefferson au Château Haut-Brion. Ce jour-là, le futur Président des Etats-Unis livre ses premières impressions sur le vignoble : « Le sol de Haut-Brion, que j’ai tout particulièrement examiné, consiste en sable dans lequel il y a une quantité presque égale de graviers ronds ou de petites pierres, ainsi qu’un peu de limon. » Dès le lendemain, il écrit dans une lettre à son beau-frère, Francis Eppes : « Je ne peux pas me priver du plaisir de vous demander d’investir dans un lot de vin que j’ai choisi pour moi-même. Cela vous donnera un exemple de ce qu’est le meilleur vin de Bordeaux. Il s’agit du vignoble d’Obrion, un des quatre reconnus comme étant les meilleurs, et il est du millésime 1784. Six douzaines de celui-ci seront emballées séparément et vous seront adressées. »
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Le témoignage de Jefferson a d’autant plus de valeur que sa correspondance privée témoigne de sa bonne connaissance des vins de Bordeaux. Il distingue ainsi « 4 vignobles de première qualité » pour les rouges : Château Lafite, Château Margaux, Château Latour et Château Haut-Brion, anticipant avec une grande clairvoyance le classement de 1855. Ironie du sort, Jefferson sera élu Président l’année même de l’exécution de Joseph de Fumel sous la guillotine. Il restera fidèle à « son » Château Haut-Brion. Après les tables royales d’Angleterre et de France, le vin de Haut-Brion apparaît donc régulièrement dans les dîners de la Maison Blanche, inaugurant une tradition qui se poursuivra sous les présidences de James Madison et James Monroe.
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1801Talleyrand et l’Empire
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Au cours des quarante années suivantes, la demeure passe entre les mains de différents propriétaires. En 1801, elle est achetée par Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, prince de Bénévent, alors qu’il est Ministre des Relations Extérieures de Napoléon Bonaparte, futur Napoléon Ier, introduisant ses vins dans les plus hauts cercles politiques français de l’époque. Homme de goût et amateur de bonne chère, Talleyrand s’adjoint les services de Marie-Antoine (dit Antonin) Carême, surnommé « roi des cuisiniers et cuisinier des rois ».
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Fin stratège, il utilise les mets inimitables de Carême, servis avec les vins de Château Haut-Brion, pour mieux aider ses ambitions politiques et aime à dire : « Ma diplomatie se fait à travers mes casseroles et ma cuisine. » Mais très accaparé par sa carrière politique, Talleyrand n’a finalement que peu de temps à consacrer à son domaine, qu’il revend en 1804.
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1855Le Classement de 1855
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En 1855, alors que le Château est aux mains de Joseph Eugène Larrieu, celui-ci reçoit une récompense à la mesure de ses efforts. Cette année-là, à l’occasion de l’Exposition Universelle qui se tient à Paris, le Syndicat des Courtiers en vins de Bordeaux rédige, à la demande de la Chambre de Commerce de la Gironde, un classement officiel des meilleurs vins de Bordeaux. Les courtiers rendent leurs conclusions en se basant sur les prix atteints, sur le marché, au cours des siècles précédents. Château Haut-Brion devient l’un des quatre « Premiers Grands Crus Classés » en rouge, aux côtés de Margaux, Lafite et Latour.
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Malgré ce succès, les trois générations de la famille Larrieu, propriétaires de 1836 à 1896, vont souffrir d’importants bouleversements politiques et des maladies qui vont toucher les vignobles de Bordeaux pendant la seconde moitié du XIXème siècle. En 1859, à la mort de son père, c’est Amédée qui prend en main la destinée de Château Haut-Brion.
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1859La famille Larrieu et “l’esprit des Girondins”
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Comme de nombreux propriétaires de Haut-Brion, Amédée Larrieu va combiner carrière vinicole et carrière politique. À la tête du domaine, il réussira à faire face aux ravages de l’oïdium, l’une des grandes maladies de la vigne, en replantant progressivement son vignoble. Il modernise également les chais, supervise la vinification et développe de nouveaux débouchés sur le marché anglais. Après 1870, il est réélu député, puis devient préfet de la Gironde. Les Bordelais disent fièrement de lui qu’il incarne « l’esprit des Girondins » de la France révolutionnaire.
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1880Le combat contre le phylloxera
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Amédée décède en 1873, laissant son fils Eugène aux commandes de la propriété. Né à Château Haut-Brion et avocat comme son père, celui-ci est resté célèbre pour avoir assuré avec conviction que « le phylloxera n’osera pas se présenter ici ! ». Hélas, le puceron qui dévaste les vignobles de l’Europe entière ne l’entend pas ainsi et frappe durement Château Haut-Brion dès 1880. Il va mener un très âpre combat contre la maladie, qu’il réussira finalement à vaincre en reconstituant complètement son vignoble sur un porte-greffe originaire d’Amérique du Nord, la vigne des rivages (vitis riparia).
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1923La mise en bouteille à la propriété
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A partir du millésime 1923, Château Haut-Brion est l’un des premiers à pratiquer la mise en bouteille au château. En janvier 1925, André Gibert, personnage excentrique mais bon vigneron, achète Château Haut-Brion. Il le conservera 10 ans. Agé et malade, sans héritier, il se met en quête d’une personnalité suffisamment puissante et influente pour éviter que son cher terroir ne connaisse un avenir funeste. C’est alors qu’entre en jeu celui qui offrira à Château Haut-Brion son troisième âge d’or, ses descendants étant, aujourd’hui encore, aux commandes du domaine.
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1935L’arrivée de la famille Dillon
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En 1934, Clarence Dillon, banquier new-yorkais, visite Château Haut-Brion lors d’un séjour en France. Alors qu’il est déjà sur le paquebot qui le ramène aux États-Unis, il reçoit un télégramme l’informant qu’il peut acquérir Haut-Brion, mais seulement s’il agit vite. Sa réponse est claire : « Act fast! ». L’achat sera conclu le 13 mai 1935, et une quatrième dynastie prendra les rênes du domaine. L’ère moderne de Haut-Brion peut commencer. L’histoire de la famille Dillon se confond avec celle de la France du XXème siècle. De 1935 à nos jours, aucun vignoble aussi prestigieux ne fût associé aussi longtemps à une famille américaine, amoureuse de la France et de son art de vivre.
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Quand Clarence Dillon achète Château Haut-Brion en 1935, il a bien conscience de posséder désormais une part de l’histoire du pays qu’il aime, une part d’histoire qu’il défendra malgré les crises économiques, la guerre et la chute des ventes de vin. Clarence Dillon et son neveu Seymour Weller, nommé gérant, mettent tout en œuvre pour moderniser le domaine. Ils font immédiatement installer l’électricité et un nouveau système de plomberie, aménager le parc et les terrains, tailler les arbres et rénover les chais.
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1939Le domaine reconverti en hôpital
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En septembre 1939, lorsque la Seconde Guerre Mondiale éclate, Clarence Dillon fait aménager Château Haut-Brion en hôpital afin d’y accueillir les officiers blessés de l’Armée Française. Durant toute cette période, il œuvre officieusement comme agent de liaison entre les gouvernements américains et britanniques.
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1975 – 1991Château Haut-Brion prépare son entrée dans le 21ème siècle
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En 1961, le cuvier est entièrement modernisé grâce à l’installation de cuves de fermentation en acier inoxydable. De 1975 à 2008, Joan Dillon, petite-fille de Clarence, accomplit une œuvre impressionnante qui va permettre à Château Haut-Brion d’entrer dans le XXIème siècle sous les meilleurs auspices. Passionnée de décoration et femme de goût, elle rénove entièrement l’intérieur du château, fait réaliser et poser l’élégante grille d’entrée et crée le parc qui entoure le château.
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En 1979, elle est rejointe par son mari le Duc de Mouchy qui travaillera avec elle pour assurer la direction de cette entreprise familiale. En 1991, elle inaugure le cuvier de haute technologie du Château Haut-Brion, bâti à côté de la toute nouvelle Cour des Artisans.
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2004Une découverte exceptionnelle
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En 2004, une découverte exceptionnelle est faite, dans une grotte semi-immergée de l’île de Mayotte : un plongeur découvre une ancienne cache de pirates et ses divers trésors. Parmi eux, une bouteille de Château Haut-Brion, datant environ des années 1850, comme en attestent les pièces de monnaie retrouvées au même endroit. Cet exemplaire unique, aujourd’hui de retour à la propriété, a été source d’inspiration lors de la création de la bouteille de Château Quintus, propriété de la Rive Droite de Domaine Clarence Dillon, acquise en 2011.
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2012La quatrième génération
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Sous la présidence de son fils, le Prince Robert de Luxembourg, 2012 voit l’achèvement des travaux de rénovation des magnifiques bâtiments qui composent Château Haut-Brion. Certifiés Haute Qualité Environnementale (matériaux respectant le développement durable, gestion de l’énergie, gestion de l’eau, et relations harmonieuses avec l’environnement), ils comprennent de nouvelles salles de réception, de nouveaux bureaux et une cuisine capable d’accueillir les chefs étoilés. Une manière d’honorer l’hospitalité et l’art de recevoir, si chers à Domaine Clarence Dillon.
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Fin lettré et amoureux de la gastronomie, Prince Robert de Luxembourg conçoit et fait réaliser une nouvelle bibliothèque pour Château Haut-Brion, une pièce circulaire habillée d’étagères du sol au plafond et aux portes cachées. Elle constitue désormais, pour les premières éditions et livres rares sur la gastronomie et le vin, une référence dans toute l’Europe, tout comme l’était la bibliothèque d’Arnaud III de Pontac plusieurs siècles auparavant.
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2021L’ouverture du Pavillon Catelan
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Le Pavillon Catelan est le fruit de la réhabilitation d’un ancien édifice datant du début du XIXème siècle. Il a pour vocation d’accueillir les visiteurs dans un lieu célébrant l’art de vivre à la française, de proposer des services et espaces réceptifs sur mesure et de leur offrir l’accès aux vins du groupe à déguster sur place ou via la boutique La Cave du Château, Bordeaux.
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